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Une étape difficile : recréer des liens sociaux à Varennes-Lès-Narcy et la région

Depuis mon départ de Lormes dans le Morvan à Varennes-Lès-Narcy, je traverse une période de transition qui dure.

De Créteil à Lormes

Je suis natif de la région parisienne où j’avais des liens sociaux solides et un soutien pour mes projets pour me retrouver dans le Morvan avec un manque de soutien et de connexion avec les forces vives de la région.

J’ai finalement quitté Lormes où je ne trouvais pas ma place dans le travail et l’utilité sociale.

De Lormes à Varennes-Lès-Narcy

Je suis maintenant à Varennes-Lès-Narcy près de villes plus importantes comme La Charité-sur-Loire, Nevers, Cosne, Bourges.

Bourges me plaît pour son attractivité touristiques, mais la distance est de 60 kilomètres. Donc, je serai limité par le nombre de déplacements possibles.

Des villes pour la vie

Nervers est beaucoup plus facile d’accès (30 kilomètres, avec l’autoroute). Cette ville est naturellement attractive comme préfecture de la Nièvre. Elle m’intéresse si je parviens à y nouer des liens sociaux, y être utile. il y a l’esprit « ville », dynamisme, esprit de dialogue, de reconnaissance de l’individu et de sa valeur utile dans la société.

La Charité-sur-Loire, qui est la plus proche (3 kilomètres). Ce serait l’idéal si je parviens à y nouer des liens utiles mutuellement. C’est un peu ancien et je suis tourné vers le futur… mais c’est peut-être le hasard de tomber sur les bonnes personnes avec lesquelles je puisse trouver ma place.

Je n’oublie pas Varennes-Lès-Narcy, pour laquelle je veux être un ambassadeur. Bien sûr, les moyens sont limités dans un petit village… mais c’est mon village et je chercherai comment lui être utile.

Le boulet des problèmes

L’isolement pourrait trouver des solutions s’il n’y avait pas le boulet des conflits liés au chauffage de la maison.

J’ai du surmonter depuis mon arrivée en août 2022 les difficultés de connexion internet instable et l’absence de médecin pour moi dans la région.

Reste ce problème de chauffage qui perdure depuis ces deux derniers hivers et me crée un grand inconfort et des problèmes de santé.

Comme un animal blessé

Au début, j’étais en conflit avec une grande surface de Nevers qui m’a vendu un poêle à granulé défectueux et pour lequel ils n’ont pas voulu assumer la garantie.

Au deuxième hiver, j’ai cru voir mon salut dans des panneaux photovoltaïques, mais c’était une hérésie due à la fatigue et à mon stress à force de vivre dans le froid et l’inconfort.

Je suis donc en plus en conflit avec ce vendeur qui a profité de mon état pour me vendre sa marchandise complétement inadaptée à mon cas. Des panneaux photovoltaïques ne produisent pas d’électricité la nuit et très peu l’hiver quand j’ai besoin de chauffage.

Un peu d’aide et de justice

Je vis donc une accumulation de stress car je n’ai d’autres choix que de faire appel à la justice et c’est un ajout de stress et de fatigue.

Tout cela affecte ma santé mentale et émotionnelle en même temps que physique.

La solitude m’étouffe

J’ai perdu le bien être des relations humaines, de se sentir utile et des soutiens auxquels j’étais habitué en région parisienne.

Je me sens frustré par ces problèmes chronophage qui m’empêchent de vivre ma vie et réussir mes projets.

Laissez-moi vivre mes dernières années

À 75 ans, il est urgent pour moi de continuer à me former, à développer mes compétences pour réaliser mes projets tant que cela est encore possible et je ne rencontre que des obstacles.

Oui, j’ai besoin de soutien pour réussir et me sentir bienpas de stress handicapants et usants.

Retrouver ma place et mon utilité

Je voudrais recréer des liens, trouver des intérêts communs, me sentir utile à la société, trouver ma place.

Je suis en attente des réponses de la justice, des responsables dans la région qui me trouveront une utilité et de vivre un tout petit peu de la vie que j’aime, de la « retraite » que j’imaginais.